L'alternance de codes à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick
Abstract
La Loi sur les langues officielles du Nouveau-Brunswick reconnaît l’usage du français et de l’anglais lors des travaux parlementaires à l’Assemblée législative, un service d’interprétation simultanée rendant possible le recours à l’une ou l’autre langue officielle. Malgré cette disposition administrative, le français est peu utilisé et ce, même un jour de séance où un débat de nature linguistique a lieu. Le choix de langues de quatre députés qui pratiquent l’alternance de codes est analysés selon l’approche fonctionnelle de Gumperz (1982), dont l’objectif est la mise au jour des fonctions particulières associées à chaque alternance.
Published
1997-06-06
How to Cite
Allard, M. (1997). L’alternance de codes à l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick. Papers from the Annual Meetings of the Atlantic Provinces Linguistic Association (PAMAPLA) ACTES DES COLLOQUES ANNUELS DE L’ASSOCIATION DE LINGUISTIQUE DES PROVINCES ATLANTIQUES (ACAALPA)., 20, 59–70. Retrieved from https://conferences.lib.unb.ca/index.php/pamapla/article/view/302
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